
Salut
à tous, ça faisait un bail, hein ? Et bien je suis
de retour pour vous jouer de mauvais tours. Trop laide cette put***
de phrase d'introduction, nan ? C'est pas grave, je continue sur
cette "vife", comme ils disent les kaill-ra. Bon allez,
je mis met c'est bon ! Ici c'est un dossier Albator, donc je vais
pas parler de racailles tout le long bord** ! Qui est donc cet Albator
? On le sait tous c'est un étrange pirate binoclard de l'espace...
Mais derrière cette image de pas-très-gentil-pas-très-très-beau
se cache un homme sensible et apitoyé par le sort du monde
qui est devenu la "poubelle" des hommes. Les hommes, eux,
ne pensent qu'à jouer, à faire de la terre un monument
de conneries, attrayés par le pognon à ne plus savoir
qu'en faire, tout ça au 31ème siècle... Cette
planète n'est donc plus qu'un résidu de salopards...
Heureusement que certains battants, des hommes comme des femmes,
ont encore la tête sur les épaules. C'est au plus haut
sommet de cette colonie de "warriors" qui se rebellent
contre ce système, que ce trouve ce fameux Albator, alias
Captain Herlock version Japan. Les terriens, trop obnubilés
par les jeux et leurs robots, ne voient pas la menace d'invasion
des terribles Sylvidres. Les Sylvidres... Des femmes extra-terrestres
ne pensant qu'à la conquête de l'espace entier. Pour
elles, cette planète Terre n'est donc pas très difficile
à posséder... Mais c'est là qu'Albator et son
escadron s'interposent : ils ne veulent pas que la race humaine
disparaisse, persuadés qu'ils reste encore des hommes sensiblement
"humains". Ils parcourent la terre dans leur vaisseau
Atlantis (Arcadia version Japan), pour trouver plus de valeureux
guerriers pour se battre sous la bannière de la liberté.
Le Capitaine Albator trouve un jeune homme dont le père a
été assassiné par les Sylvidres. Le nom de
ce "jeuns" est Ramis (Tadashi version Japan). Il faut
savoir que son père a été assassiné
parce qu'ils connaissait le piège de ces méchantes,
mais tout aussi charmantes femmes. Toute l'histoire commence ici...
Ramis hésite donc à rentrer avec l'équipage
à bord de l'Atlantis. Il s'aperçoit vite après
un court speech d'Albator, que c'est le seul moyen de venger son
père.
Au cours de ses aventures, le corsaire de l'espace
nous prouve qu'il est grand, vaillant et bon ! Mais aussi qu'il
possède ses propres faiblesses... Comme son passé,
la petite Stellie (fille de son meilleur ami), les secrets de l'Atlantis,
etc... Il nous apprend aussi que l'amitié et le bien triompheront
toujours ! Et avec loyauté...
La série est inventée en 1978 (tu
mens !) par le grand Leiji Matsumoto, créateur de toute la
fabuleuse aventure du Captain Herlock (Albator 78, Albator 84, Cosmo
Warrior 0, Gun Frontier, Captain Herlock the Endless Odissey), mais
de bien d'autre aussi (Galaxie Express 999, La Reine du Fond des
Temps, Queen Emeraldas, etc...). C'est aussi celui qui a fait les
clips des Daft Punk, il n'y a pas très longtemps, vous vous
rappelez ? Beh voilà, c'est lui qui a fait ça... Bon
dessinateur, nan ? lol

La musique japonaise, elle, est de Seiji Yokoyama,
met bien dans l'ambiance, et est magnifique ! La version française
est de David Charvet... Sachez aussi que c'est ce Monsieur qui a
changé le nom de "Captain Herlock" en "Albator"...
Et pour une raison débile en plus... Il trouvait que le premier
nom était trop ressemblant à celui du capitaine Hadock...
Comment a t-il trouvé le nom d'Albator alors ? Tout simplement
parce-qu'il avait un ami qui s'appelait Albatros... Je vous laisse
juger la débilité humaine par vous même. Une
autre débilité humaine : celle des éditeurs...
Les trois derniers épisodes sont sortis en France il y a
à peine trois ou quatre ans... Vingt ans après quoi...
Ces épisodes étaient jugé trop violents...
Ahlala, qu'est ce qu'on est fort, nous, les français... NO
COMMENT. Et encore je trouve que les doubleurs s'en sont pas trop
mal sortis... Quoi que... Des fois on a une irrésistible
envie de les baffer, mais bon. C'est sur que ce ne sont pas ceux
d'Hokuto no Ken... Tient, vous aurez droit à la voix française
d'Harrisson Ford pour Albator... Quelle chance ! CRIK-CRIK-PROU
(bruit du fusil à pompe)...
Je n'ai pas comparé la série au manga,
mais le début est assez ressemblant. Tant mieux ! Même
si la qualité de la série animé fait assez
vieillot maintenant, on se prend vraiment dans l'histoire, y'a rien
à faire ! Si vous commencez à regarder quelques épisodes,
vous ne vous arrêterez plus... Ca deviendra une passion. Cette
histoire avec les Sylvidres devient de plus en plus forte, et détient
beaucoup de rebondissements. Albator 78 plaira à tous les
petits comme à tous les grands (pour la nostalgie). Non,
je n'essaye pas de vendre un jeu de société ! J'essaye
juste de vous expliquer ce que j'ai ressenti après avoir
vu les 42 épisodes du pirate. Surtout, la fin qui est si
magique... De toute façon, je n'ai qu'une seule phrase à
dire... Albator c'est de la jouissance en perspective.

Master of puppets, le corsaire de l'espace 
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